Post-journée sportive, pré-journée voyage.

     Ah ! Il est loin le temps où j'entretenais mon corps d'athlète par 2 heures hebdomadaires d'EPS.

     Il s'est avéré qu'hier j'ai fait du sport pour la première fois depuis l'évaluation d'éducation physique & sportive du bac. C'est à dire, il y a un an. 

Je crois que c'était trop brutal.

    Ça a commencé par une joyeuse balade en bicyclette et ça s'est fini par des étirements musculaires de ouf-sa-race. Je pâtis courageusement mais toute position confortable m'est interdite, et tendre mes membres reste une véritable torture. À cela s'ajoute quelques égratignures et d'élégants coups de soleil. 

     Et tout ça un jour avant mon départ pour Aix. À traduire par 13h de train couchette... sur sièges inclinables. 

     Mais deux choses égalent presque ma douleur et mon inconfort physique :

• Je n'ai pas commencé ma valise. Et qui dit valise dit (par euphémisme) "ça m'enquiquine fortement".
• Je n'ai plus d'écouteurs ! 

  Oui, plaignez-moi.

Vacaciones !

      Tôt ce matin, réveillée par un bruit indéfini, mon cerveau embrumé a cependant fait tourner ses méninges à mille à l'heure pour savoir si il était normal que mon corps mou soit encore étalé sous une couette. N'avais-je pas loupé le réveil, par hasard ? 
Mais non ! Que je me rassure ! De une, nous sommes samedi, et de deux... je débute mes vacances d'été ! 

     Le premier réveil des vacances est toujours un peu déstabilisant, c'est vrai. Mais le rythme Pulco prend rapidement le dessus. Toutefois, la réciproque est fausse : en sortant des vacances, il est difficile de reprendre le rythme des études.

"Pulco - Il fait trop chaud pour travailler"

     Et puis, puisque je n'ai rien à faire ce matin - genre, vraiment rien à faire ;  c'est-à-dire que je peux même me passer de mettre mon cerveau sur ON - la meilleure chose qui puisse être effectuée, c'est de se poser devant la télé en slip et en t-shirt - ou en slip mais sans le t-shirt, ou le t-shirt sans le slip, en pyjama ou bien tout nu, c'est la même chose : dans une attitude aussi négligée que peut l'être, de manière légitime, votre pauvre cerveau après avoir été malmené ces derniers jours, à bachoter un millier de pages de cours. 
Mais si vous êtes loin de vous appelez Hermione Granger, il est probable que vous ayez plutôt été tentés de lire le tout en diagonale tout en faisant des impasses sur certaines notions / sous-parties / chapitres / grandes parties. Néanmoins, ces diagnostiques demandent aussi un effort intellectuel. Le mérite est donc pour tout le monde.

     Bref, ayant perdu l'habitude de la télévision, j'ai pris du plaisir à m'avachir sur notre bon vieux canapé et à zapper toutes les chaines allemandes (now, Ich bin in Deutschland. Ah no, pardon, in Strasbourg !) Et en tombant sur un dessin animé chouette, je me suis remémorée l'époque des matinées à mater tous les dessins animés de la Terre, dans le genre Pokémon le mercredi ou encore La Ligue des Justiciers le dimanche - et j'en passe, bien entendu ! 
C'était l'époque ou j'aimais la télé, parce que je ne regardais que ça : des dessins animés top-cool.

      Désormais, la télévision n'est pour moi qu'un moyen de me détendre. Sinon, les téléfilms sont inintéressants et exaspérants  (est-il possible de gagner de l'audience avec des navets pareils ?), les jeux télé, débiles et rébarbatifs, les animateurs, pitoyables et ridicules, les présentateurs, agaçants et faux, les publicités, absurdes et déplorables...




Heureusement, il existe toujours des exceptions à tout. 
Tiens ! En l'occurrence la publicité Pulco !

Du rangement.

  
      Cette besogne du dépliage-pliage-assemblage, je ne l'effectue en moyenne que 2 à 3 fois par an, notamment en raison du changement de saisons et, par conséquent, au changement de garde-robes.

Mais aujourd'hui, je m'y suis décidée, las de mon air miséreux. 

     Et tout cela faute de porter des vêtements froissés pouvant laisser imaginer que j'avais passé la nuit entière à la gare au milieu des clochards bourrés ou dans un poste de police après avoir mis le feu à des Twingo, ou bien justement, dans celle d'un type chaud prêt à s'embraser au contact d'une fille récompensée, ou encore dans tout autre recoin de la Terre ne m'ayant pas permis de me changer ni même de me doucher passé l'aurore.


      Aussi, je perdais de longs et précieux quart d'heures à chercher ce que je savais vouloir enfiler (c'est frustrant d'y passer autant de temps que lorsque l'on ne sait pas quoi porter). 
Bref, c'était toujours l'instant d'une fouille dans le bazar de mon armoire : je jetais mes vêtements comme si je creusais la terre à la quête de ce trésor que je savais enfoui ici mais que je ne trouvais pas. Désespérant. 


     Le travail finalement accompli, on peut désormais constater un contraste entre l'armoire nouvellement rangée et ma chambre chaotique à son habitude. Mais je songerai à homogénéiser le tout plus tard... En dérangeant mon armoire, plus certainement.

      

Il est temps d'affronter mon armoire et d'y faire régner l'ordre.

" Here comes the summer son "

Après, je n'ai jamais été très habile non plus.

     
     Ça y est, il fait 28°C, je décide de délaisser le rasoir pour ressortir mon pot de cire chaude.

" La cire, c'est ce qu'il y a de mieux et de plus efficace. Privilégions l'épilation au rasage. Le rasoir est notre ennemi !" : ça, c'est ce que revendiquent toutes les filles.

   Mais si vous n'avez jamais essayé d'appliquer de la cire à l'aide d'un bâtonnet chez vous, le résultat ne ressemble absolument pas à ce que l'on vous montre dans les publicités - c'est-à-dire cette couche de cire rectangulaire et uniforme que l'on retire d'une main légère.

      Non, il faut savoir que :

1) La cire dégouline de partout, 

2) Mais qu'en plus, elle sèche (très) vite

3) Il vaut donc mieux ne pas utiliser le micro-onde du voisin au risque de sonner chez lui toutes les 5 minutes

4) Surtout que vous vous baladez avec des sortes de lambeaux aux jambes

5) Et finalement, il vous faut gratter ces croûtes de cire trop fines, trop étalées ou trop irrégulières.

     Voilà, après une petite heure de galère, vous êtes ÉPILÉE et douce, et c'est ce qui compte ! Mais c'est à parier que dans une semaine, pressées ou paresseuses, vous regretterez d'avoir jeté votre vieux rasoir.

Article consacré à Dumbo.

     
      Avant-hier, j'ai eu l'envie saugrenue de regarder Dumbo (entre deux exams, histoire de m'éloigner des révisions, certainement).

Cela devait bien faire une dizaine d'années que je ne l'avais pas vu. 
Il faut dire que j'en gardais le souvenir d'une ambiance assez pesante, voir effrayante (la parade des éléphants roses était juste traumatizing !) 

      Mais cette fois-ci, mon sentiment de malaise s'est effacé face à la nouvelle vision que j'ai eu de Dumbo. 

       En effet, j'ai pu remarquer à quel point il était mignonissime !

 Quelque chose de tellement débile mais qui m'a rendu totalement obsessionnelle !

Je veux le même.

- Oui, mon fils s'appellera Ganesh.