Ok, sur le dessin on dirait que j'ai une tranche de jambon cru au creux du coude |
En cette période difficile où tombent la rentrée, les averses, l'appétit, les feuilles mortes, l'inspiration, les nuits précoces et la bonhomie vacancière, le seul plaisir orgasmique qui puisse parfois me consoler provient de mes démangeaisons aiguës que je gratte de manière hargneuse telle une vilaine galeuse.
Par conséquent, j'écris à tâtons. Je n'ai rien à dire. Ou plus justement, rien à écrire.
Mais j'écris, tout de même, par un principe inconsistant que je me suis imposée ; celui qui est d'écrire, quand même.
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